Archives de l’auteur : à demeure

DISNOVATION.ORG

Parc naturel régional du Haut-Jura
L’eau en zone karstique

La commande autour de l’eau en zone karstique s’inscrit dans le cadre de Art Living Lab for Sustainability / programme Europe Créative https://artlivinglab.eu/.
Par le biais de commandes adressées à des artistes l’objectif de la démarche est de favoriser des cultures transversales, des alliances entre les acteurs européens qui répondent aux défis environnementaux pour trois types de biens communs naturels : l’argile, la terre, l’eau, en Belgique (Flandres) avec de Nieuwe opdrachtgevers, en Espagne (Galice) avec Concomitentes et en France (Jura) avec la Société des Nouveaux commanditaires et l’association À demeure.

La question du cycle de l’eau en milieu karstique est devenue un enjeu environnemental majeur, peu connu et mal compris du public, bien qu’il soit l’objet d’observation et d’études par des géographes, des hydrogéologues et des spéléologues : ces derniers étant les premiers témoins de son évolution rapide et personnes ressources pour la recherche

Le Karst, « champ de pierres » en allemand provient du nom slovène kras désignant la région constituée de haut plateau calcaire. Ce terme s’est ensuite généralisé aux sites présentant les caractéristiques des grands massifs calcaires fracturés dans lesquels l’eau circule en profondeur. Les longues périodes sèches observées ces dernières années en hiver comme en été renforcent la vulnérabilité de la ressource en eau présente dans le karst qui permet notamment d’alimenter un tiers de la population. Les enjeux et problématiques associés à ces milieux ne se limitent pas à la seule exploitation et préservation des eaux souterraines, ils sont multiples et touchent des dimensions qualitatives et quantitatives, comme :
– l’adaptation aux effets du changement climatique et les impacts sur la disponibilité en eau ;
– le niveau trophique des eaux et la capacité d’autoépuration des cours d’eau ;
– l’aptitude des territoires à conserver la biodiversité remarquable de leurs milieux aquatiques.

L’invitation adressée à des artistes de participer à cette réflexion vise à une prise de conscience de ces changements climatiques, voire à une meilleure anticipation des conséquences sur les milieux naturels, sur la ressource, sur sa gestion, et surtout sur le partage et les usages de ce qu’il faut collectivement reconsidérer comme un « bien commun ».  Comment amener à mieux connaître ce contexte géologique si particulier : un réseau souterrain par définition invisible et donc difficile à appréhender voire même à représenter.?

Les personnes à l’origine de la commande accompagnées par le Parc naturel régional du Haut-Jura* sont Philippe Perrin, élu de La Rixouse ; Anne Corriol, enseignante et François Jacquier, spéléologues et membres du Comité départemental de Spéléologie du Jura (Fédération française de spéléologie), François Jacquier en assure la présidence ; Wim Cuyvers, architecte-forestier, spéléologue et propriétaire d’un terrain Le Montavoies, lieu d’accueil, d’observation et d’expérimentation.

* Le Parc naturel régional du Haut-Jura est un acteur important dans la prise en compte de l’avenir de la ressource en eau.  Depuis de nombreuses années, il s’empare de cet enjeu à travers des actions concourant à l’amélioration et au maintien de la qualité du réseau hydrographique d’une part : restauration de cours d’eau et de la continuité écologique, préventions des inondations, et anticipation  des enjeux environnementaux et sociaux de partage de la ressource dans la diversité de ses usages, d’autre part.

DISNOVATION.ORG

Parc naturel régional du Haut-Jura
L’eau en zone karstique

La commande autour de l’eau en zone karstique s’inscrit dans le cadre de  Art Living Lab for Sustainability / programme Europe Créative https://artlivinglab.eu/.
Par le biais de commandes adressées à des artistes, l’objectif de la démarche est de favoriser des cultures transversales, des alliances entre les acteurs européens qui répondent aux défis environnementaux pour trois types de biens communs naturels : la terre, l’eau et l’argile en Belgique (Flandres) avec de Nieuwe opdrachtgevers, en Espagne (Galice) avec Concomitentes et en France (Jura) avec la Société des Nouveaux commanditaires et l’association À demeure.

La question du cycle de l’eau en milieu karstique est devenue un enjeu environnemental majeur, peu connu et mal compris du public, bien qu’il soit l’objet d’observation et d’études par des géographes, des hydrogéologues et des spéléologues : ces derniers étant les premiers témoins de son évolution rapide et personnes ressources pour la recherche.

Le Karst, « champ de pierres » en allemand provient du nom slovène kras désignant la région constituée de haut plateau calcaire. Ce terme s’est ensuite généralisé aux sites présentant les caractéristiques des grands massifs calcaires fracturés dans lesquels l’eau circule en profondeur. Les longues périodes sèches observées ces dernières années en hiver comme en été renforcent la vulnérabilité de la ressource en eau présente dans le karst qui permet notamment d’alimenter un tiers de la population. Les enjeux et problématiques associés à ces milieux ne se limitent pas à la seule exploitation et préservation des eaux souterraines, ils sont multiples et touchent des dimensions qualitatives et quantitatives, comme :
– l’adaptation aux effets du changement climatique et les impacts sur la disponibilité en eau ;
– le niveau trophique des eaux et la capacité d’autoépuration des cours d’eau ;
– l’aptitude des territoires à conserver la biodiversité remarquable de leurs milieux aquatiques.

L’invitation adressée à des artistes de participer à cette réflexion vise à une prise de conscience de ces changements climatiques, voire à une meilleure anticipation des conséquences sur les milieux naturels, sur la ressource, sur sa gestion, et surtout sur le partage et les usages de ce qu’il faut collectivement reconsidérer comme un « bien commun ». 
Comment amener à mieux connaître ce contexte géologique si particulier : un réseau souterrain par définition invisible et donc difficile à appréhender voire même à représenter.?

Les personnes à l’origine de la commande accompagnées par le Parc naturel régional du Haut-Jura* sont Philippe Perrin, élu de La Rixouse ; Anne Corriol, enseignante et François Jacquier, spéléologues et membres du Comité départemental de Spéléologie du Jura (Fédération française de spéléologie), François Jacquier en assure la présidence ; Wim Cuyvers, architecte-forestier, spéléologue et propriétaire d’un terrain Le Montavoies, lieu d’accueil, d’observation et d’expérimentation.

* Le Parc naturel régional du Haut-Jura est un acteur important dans la prise en compte de l’avenir de la ressource en eau.  Depuis de nombreuses années, il s’empare de cet enjeu à travers des actions concourant à l’amélioration et au maintien de la qualité du réseau hydrographique d’une part : restauration de cours d’eau et de la continuité écologique, préventions des inondations, et anticipation  des enjeux environnementaux et sociaux de partage de la ressource dans la diversité de ses usages, d’autre part.

 

 

expositions

”Construire – Les nouveaux commanditaires du logement social”
Contexts, Paris, 23 avril–28 juin 2014


communiqué de presse, avril 2014 – pdf

 

”Traverses”, Sabine Anne Deshais
Les Abattoirs, Toulouse, 28 juin–8 septembre 2012


dossier de présentation, juin 2012 – pdf

 

Susanne Bürner, Parc naturel régional du Vercors

La Traversée
L’Isère
et Le Travail

Les communes de la rive gauche de l’Isère sont situées dans le prolongement de Grenoble et de la voie historique reliant les Alpes à la Méditerranée. La pression foncière liée à la proximité de l’agglomération grenobloise et le regroupement en communautés de communes conduisent ces villages à se repositionner afin de préserver leurs spécificités.

Dans un contexte d’urbanisation croissante du territoire, les anciens sites industriels font partie de l’imaginaire commun, en lien avec l’histoire ouvrière locale forgée sur plusieurs générations. Susanne Bürner a été invitée à s’emparer de ce constat. Deux lieux emblématiques sont repérés l’ancienne fonderie royale de canons de Saint-Gervais et les carrières de l’Echaillon.

Cependant Susanne Bürner n’a pas souhaité circonscrire uniquement ses recherches à l’histoire de des deux communes, elle s’est imprégnée de la géographie des lieux, a visité de nombreux sites et collecté des récits ainsi qu’une riche iconographie sur l’histoire industrielle des deux rives de l’Isère. Au fil de ses réflexions, le rôle de la rivière lui est apparu structurant. Elle facilitait la circulation des biens, des personnes et de la main d’œuvre grâce aux ponts, bateaux, radeaux et bacs à traille. Sa forte présence au pied des coteaux du Vercors impressionne toujours le voyageur.
C’est d’ailleurs à travers le regard d’un étranger, en l’occurrence un jeune batelier, que Susanne Bürner propose une fiction qui prend la forme d’un film, La Traversée. L’édition des deux léporellos L’Isère et Le Travail associent images, dessin d’archives et ses propres photographies.

invitation, décembre 2014 – pdf

La Traversée

L’Isère et Le Travail

édition d’artiste
format ouvert 104 x 10,4 cm, chaque
600 exemplaires
10 €, les deux

commanditaires : Mme Faure, maire de Saint-Gervais, des membres de l’association SPIA –Sauvegarde du patrimoine industriel d’autrefois et le Parc naturel régional du Vercors

soutien : Parc naturel régional du Vercors dans le cadre du programme européen LEADER (Fonds européen agricole pour le Développement rural), Fondation de France / action Nouveaux commanditaires

2014

crédits film Susanne Bürner, crédits photos édition Phoebé Meyer

Michel Aubry, Parc naturel régional du Vercors

La 72 593e Partie du monde

L’artisanat traditionnel a tenu une place importante dans l’histoire du Royans-Vercors. La tournerie-tabletterie, notamment, a connu un véritable essor durant la seconde moitié du XXe siècle avec quelque cinquante entreprises employant plus de six cents ouvriers. Aujourd’hui, seuls quatre ateliers sont en activité. L’œuvre sollicitée ici se doit de tirer les fils du passé pour penser l’avenir et rendre compte des réalités plurielles du territoire.

D’emblée, Michel Aubry choisit de décloisonner son propos et d’associer le projet du Vercors à celui mené en parallèle dans le Parc du Pilat. Sa recherche s’appuie sur trois œuvres évoquant le paysage industriel et le rapport aux ressources naturelles : Paysage avec travaux de la mine (1544) de Herri met de Bles, Le Feu (1606) de Jan Brueghel l’Ancien et La Sixième Partie du monde (1927) du cinéaste Dziga Vertov.

La proposition de Michel Aubry pour le Parc du Vercors s’inspire d’une séquence de La Sixième Partie du mondemontrant une chamane de Sibérie qui danse « dans un costume chargé d’objets symboliques, à la fois protection et enveloppe conductrice reliée aux éléments naturels. » Il repense le costume de la chamane et lui associe des tubes sonores conçus dans la tradition de la tournerie. « Le son relie, comme la chamane, les éléments provenant de la forêt aux objets matériels. »

L’œuvre a été activée le 27 septembre 2014 par une performance chorégraphique de Marianne Baillot. Chaque année, d’autres variations de la danse sont programmées avec des associations du Royans.


communiqué de presse, septembre 2014 – pdf


commanditaires : les membres des associations Arbre et Engivane, et le Parc naturel régional du Vercors

soutien : les quatre Parcs naturels régionaux de Lorraine, des Monts d’Ardèche, du Pilat et du Vercors coopèrent pour ce projet dans le cadre du programme européen LEADER (Fonds européen agricole pour le Développement rural)

2014

crédits photographiques Phoebé Meyer

Élisabeth Ballet, Parc naturel régional des Monts d’Ardèche

Vous me direz

Vous me direz est la réponse d’Élisabeth Ballet à la commande d’élus et d’habitants de l’ancienne Communauté de communes d’Eyrieux-aux-Serres et du Parc naturel régional des Monts d’Ardèche. Situé en zone de moyenne montagne, ce territoire compte aujourd’hui plus d’une vingtaine d’ateliers de moulinage et de tissage à l’abandon, et la question de leur requalification est récurrente. La Communauté de communes a souhaité mener une réflexion sur la présence et la transformation de ce paysage industriel, et aborder la dimension sociale du travail textile.

À Saint-Sauveur-de-Montagut, la présence du Moulinon au bord de l’Eyrieux est un témoignage fort de l’histoire ouvrière locale. Élisabeth Ballet crée une «chambre d’écoute» dans l’ancien arrêt de gare, de l’autre côté de la rivière, face à cet ancien moulinage. L’abri, peint en bleu, est précédé d’une terrasse pourvue de deux bancs en béton de couleur brun rouge. À l’intérieur, une fenêtre munie d’un garde‑corps a été percée pour offrir une vue frontale sur le Moulinon. Un montage sonore est diffusé à divers endroits pour multiplier les points d’écoute.

«La distance entre l’usine que nous admirerons et le site proprement dit – écrit l’artiste – permettra de créer une œuvre immatérielle. » Dans la chambre d’écoute, les sons de la rivière, de la turbine et de la nature se mêlent aux bruits des machines et aux voix des protagonistes de l’usine. « Ces voix nous invitent à prendre le temps d’écouter les récits du travail accompli, son prix, ses joies et ses peines, et prendre ainsi connaissance du savoir-faire des ouvriers. »

communiqué de presse, mai 2014 – pdf

commanditaires : des élus et des habitants de l’ancienne Communauté de communes d’Eyrieux-aux-Serres et le Parc naturel régional des Monts d’Ardèche

soutien : Parc naturel régional des Monts d’Ardèche dans le cadre du programme européen LEADER (Fonds européen agricole pour le Développement rural), Fondation de France, Région Rhône-Alpes, Communauté de communes Privas Centre Ardèche

2014

crédits photographiques Phoebé Meyer

Construire / Patrick Bouchain et Loïc Julienne, à Beaumont, Ardèche

Les Bogues du Blat

Un habitat social rural dans les Cévennes ardéchoises

La Vallée de la Drobie, comme l’ensemble des Cévennes ardéchoises, a subi depuis plus d’un siècle un lent processus de déprise agricole, ses versants abrupts étant devenus trop contraignants pour une agriculture mécanisée.  Cette mutation a engendré un important exode rural qui a atteint son point culminant dans les années 1970. Depuis peu, la vallée connaît un nouvel intérêt résidentiel et touristique qui a suscité de nombreux aménagements, pas toujours adaptés aux enjeux du développement local.

La commune de Beaumont s’est lancée dans des projets de construction et d’aménagement pour soutenir un développement durable face à la demande croissante de terrains à bâtir ou d’habitats traditionnels. Le hameau de Blat a été choisi pour accueillir une nouvelle zone d’habitation et la commune a souhaité confier à un architecte le projet de création d’un habitat social rural fondé sur la maison comme unité de base, tout en permettant l’ouverture au groupe social du hameau.

La réponse de l’équipe Construire a permis d’aller au-delà des premières intentions, d’ouvrir la commande à leur démarche expérimentale et de s’interroger sur la possibilité de construire autrement. Entrepreneurs, futurs habitants, architectes et artistes ont été associés tout au long du projet afin de faire de la construction un acte culturel.

Chaque maison est implantée à cheval sur plusieurs faïsses (ou restanques) et desservie par une voie privative, mais les places de stationnement sont regroupées et éloignées des habitations. Les faïsses non-privatives peuvent être exploitées en jardin commun.

La construction initiale est constituée d’une charpente en ogive, de sa couverture et de l’aménagement du seul rez-de-chaussée (avec séjour, chambre, cuisine et salle de bains). De là, deux options sont possibles : la location simple avec la possibilité,entre autres, pour le locataire d’étendre la partie habitable dans les volumes laissés libres ; ou une accession progressive à la propriété dans le cadre d’un montage défini avec le maître d’ouvrage.

L’expérience des Bogues du Blat a fait l’objet d’une publication incluant le récit de la commande et le carnet d’étude de Patrick Bouchain, captures éditions, 2018.


dossier de présentation, septembre 2013 – pdf

commanditaires : des membres du conseil municipal de Beaumont et Pascal Waldschmidt, maire de Beaumont, Jacqueline Mielle et Jean-Rémi Durand-Gasselin, adjoints au maire

soutien : Fondation de France, Région Rhône-Alpes, Conseil général de l’Ardèche (Cap Territoire), Parc naturel régional des Monts d’Ardèche (Fonds européen agricole pour le Développement rural – Leader)

première tranche de 3 maisons et 4 logements : septembre 2013
deuxième tranche de 3 maisons : janvier 2017

crédits photographiques Loïc Julienne et Phoebé Meyer

Joëlle Tuerlinckx à Cransac

La Triangulaire de Cransac
‘MUSÉE DE LA MÉMOIRE – PROPRIÉTÉ UNIVERSELLE ®’

Avant d’être une commune minière, Cransac était, au XIXe siècle, un village connu pour son thermalisme. Après la fermeture des mines en 1961, la ville redevient une cité thermale, mais la mémoire collective reste liée à son passé minier. Mutations des paysages et des comportements sociaux sont donc des notions essentielles dans l’histoire récente de Cransac.

En faisant appel à un artiste, le commanditaire a souhaité aller au-delà de la commémoration. Si la prise en compte de l’histoire industrielle et minière demeure importante, l’articulation du passé et du présent doit être porteuse de préoccupations nouvelles en rapport avec l’activité thermale et l’évolution du paysage urbain.

Le choix de la commune s’est porté sur Joëlle Tuerlinckx, artiste de renommée internationale. D’emblée, elle s’est intéressée au contexte de l’intervention. Ses rencontres et découvertes (humaines, géologiques, architecturales) ont été consignées dans des notes et fait l’objet d’enregistrements sonores et visuels, l’ensemble constituant la genèse de l’œuvre.

Joëlle Tuerlinckx élabore un projet où toute la structure muséale et son fonctionnement sont évoqués : la collection, la conservation, l’inventaire, les montages d’expositions successives. Mais elle en bouleverse les schémas et propose un « musée retourné comme un gant » qui prend appui sur une triangulaire de lieux.

La Triangulaire de Cransac ‘MUSÉE DE LA MÉMOIRE – PROPRIÉTÉ UNIVERSELLE ® se compose d’un Monument-Mémoire de 34 m de hauteur érigé sur l’ancien carreau de la mine, près du puits no 1 (le monument représente un dixième de sa profondeur), et de deux pôles désignés par l’artiste comme Vitrine Contemporaine et Vitrine Historique du Musée de la Mémoire.

Le titre donné à l’œuvre rend hommage à Jean Jaurès : «L’éducation universelle, le suffrage universel, la propriété universelle, voilà, si je puis dire, le vrai postulat de l’individu humain*.» L’artiste a retenu de cette phrase son esprit universel et sa dimension utopique.
* « Socialisme et liberté », article paru in La Revue de Paris, 1er décembre 1898.

dossier de presse, septembre 2011 – pdf

‘Monument-Mémoire’, ‘Vitrine Contemporaine’ et ‘Vitrine Historique’

réalisation et inauguration, le 15 octobre 2011

commanditaire : conseil municipal de Cransac

soutien : Ville de Cransac-Les-Thermes, Fondation de France Nouveaux commanditaires en partenariat avec le ministère de la culture et de la communication (DGCA, DRAC Midi-Pyrénées), Région Midi-Pyrénées, Département de l’Aveyron, avec la participation de : Communauté de communes du bassin de Decazeville-Aubin, Forum des associations, Crédit agricole Nord Midi-Pyrénées, Umicore, Chaîne thermale du Soleil–Thermes de Cransac

2011

 

crédits photographiques Joëlle Tuerlinckx, Christoph Fink (sauf 25, 26 et 27)